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'Plus âgé que sa mère ' : une erreur fatale de l’Etat-civil qui pénalise un jeune étudiant.
Sur les papiers d’état-civil, Ibrahima Demba Ndiaye, étudiant à la faculté des Lettres, serait "plus âgé " que sa mère. Né réellement en 1984 à Maghama, Ibrahimas’est retrouvé avec un acte de naissance qui mentionne qu’il est né en 1954, alors que sa mère, Hawa Oumar Aw est née elle-même en 1963.
Pour rectifier l’erreur, il court depuis des années, renvoyé d’une administration à une autre, la préfecture qui l’envoie à la mairie, qui l’envoie à l’état-civil et cette dernière l’envoie au Palais de justice. La semaine dernière, il s’est adressé au Parquet de la République qui lui a signifié n’avoir aucune compétence en la matière et qu’il doit s’adresser à l’état-civil, l’autorité auprès de laquelle l’erreur a été commise.
Il a beau clamé que c’est l’état-civil qui l’a orienté devant la justice, cela ne changea rien à la position du greffier en chef qui semblait réellement désolé de ne pouvoir rien faire pour lui. Mais l’état-civil semble ne détenir aucun mécanisme pour rectifier ses bourdes.
L’avenir du jeune Ibrahima semble ainsi compromis et semble être condamné à traîner un écart d’âge de plus de trente ans, ce qui risque de compromettre sérieusement ses études. Aujourd’hui, il n’a que ses yeux pour pleurer sinon l’arbitrage des plus hautes autorités pour corriger ce genre d’anomalie.
Pour rectifier l’erreur, il court depuis des années, renvoyé d’une administration à une autre, la préfecture qui l’envoie à la mairie, qui l’envoie à l’état-civil et cette dernière l’envoie au Palais de justice. La semaine dernière, il s’est adressé au Parquet de la République qui lui a signifié n’avoir aucune compétence en la matière et qu’il doit s’adresser à l’état-civil, l’autorité auprès de laquelle l’erreur a été commise.
Il a beau clamé que c’est l’état-civil qui l’a orienté devant la justice, cela ne changea rien à la position du greffier en chef qui semblait réellement désolé de ne pouvoir rien faire pour lui. Mais l’état-civil semble ne détenir aucun mécanisme pour rectifier ses bourdes.
L’avenir du jeune Ibrahima semble ainsi compromis et semble être condamné à traîner un écart d’âge de plus de trente ans, ce qui risque de compromettre sérieusement ses études. Aujourd’hui, il n’a que ses yeux pour pleurer sinon l’arbitrage des plus hautes autorités pour corriger ce genre d’anomalie.
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